Le CERME révise sa stratégie de mise en œuvre
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Août
Kpalimé, le 04 août 2022 - Après six mois de mise en œuvre de son Plan de Travail et du Budget Annuel (PTBA) 2022, le Centre d’Excellence Régional pour la Maîtrise de l’Electricité (CERME) a jugé judicieux de faire le point à mi-parcours. Et c’est à Kpalimé (120 km au nord-ouest de Lomé) qu’une trentaine d’acteurs du centre se sont donné rendez-vous pour relever le niveau d’exécution des activités, analyser les forces et faiblesses, les contraintes, les goulots d’étranglement et proposer des mesures d’ajustements afin de mieux avancer.
Cet atelier a pour objet de dégager le bilan des activités du CERME au cours du premier semestre 2022 d’une part et ajuster, sur la base des forces et faiblesses indues, en lien avec le plan d’accélération, le PTBA et le PPM d’autre part afin de contribuer à la célérité dans les processus d’atteinte des Indicateurs Liés au Décaissement améliorant ainsi les performances du centre.
Le presidium et une vue partielle des participants
Ce travail se fait sur fond le plan d’accélération proposé sous l’appui et l’accompagnement d’un Expert de la Banque Mondiale, en vue de contribuer à la célérité dans l’obtention des résultats des indicateurs cibles et augmenter significativement les performances du centre.
Les résultats de commissions, en termes des besoins traduits en activités ou de suppressions, seront intégrés au PTBA initial sous l’angle d’ajustements.
L’évaluation à mi-parcours du PTBA sera suivie de sa révision et de celle du PPM 2022 par les acteurs impliqués. Ce qui permettrait aux acteurs impliqués d’avoir une vision plus élargie du projet.
Photo de groupe des participants
Pour l’évaluation à mi-parcours proprement dite, il s’agit de mesurer les performances : évaluer le niveau d’atteintes des objectifs fixés au titre de la période de janvier à juin 2022) et définir les perspectives sur les derniers six (06) mois de l’année 2022 en termes de forces, faiblesses, opportunités et menaces en rapport avec les objectifs du CERME et mesures de sauvegardes des performances.
Avec un taux de décaissement de 18 pour cent à ce jour, il urge de faire sauter les goulots d’étranglement et adopter des approches de solution en lien avec le plan d’accélération.
Par Fernand A. TONA
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